Réflexions

Public privé

L’on peut, paraît-il tout faire et oser.

Une association qui s’est déclarée droit de la femme, n’entend pas accepter un jugement qui date depuis quelques temps déjà.

Un homme, mal lui en prend, chanteur pour vous donner une piste de chasse, a été relaxé à la suite d’une suspicion lors de la mort de sa première épouse.

Comme cet imbécile a provoqué celle de sa deuxième dans un élan de colère qui font les artistes dont on se passerait bien, la-dite association veut reprendre le combat à son compte et faire chanter l’homme banni des scènes de France et de Navarre puisque c’est bien connu une fois purgé sa peine il faut la boire jusqu’à la lie et plus soif.

Mais au lieu d’intenter une action en justice avec les nouveaux éléments qui permettraient un nouveau jour sur cette mort, elle fait savoir en communication libérale son désaccord et entend bien mettre à mort l’homme conspué.

Sans doute est-ce pour rappeler la lapidation d’antan qui persiste dans certains pays d’Orient.

Le vrai problème, que l’on a en France, c’est d’être pollué par l’exemple d’Outre Atlantique d’une économie libérale qui écrase toutes les petites personnes sur son chemin et avilisse les autres.

Et d’être contaminé comme pour l’Europe par un joyeux sentiment d’arrière garde d’extrême droite pour ce qui est du traitement humain.

Le maire d’une de nos villes décident la non circulation des des véhicules avec radars embarqués sur sa commune.

Le préfet a déclaré cette restriction illégale.

Soit, mais les arguments invoqués devraient, après passage au mixer des services juridiques, servir pour la cause de certaines associations ou particuliers qui auraient l’audace de remettre en cause ce système inventé.

Il faut tout de même savoir qu’une loi interdit l’utilisation par le conducteur d’écran et autres distrayants sa conduite.

Ce n’était pas le cas pour les policiers puisque celui qui officiait était le passager.

Or, par soucis économique, puisqu’il s’agit de contrôle privé pour le compte de l’État, il faut bien vivre bénéfices pour en vivre bien.

Au passage, c’est toute la différence entre le public et le privé…

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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