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Plusieurs perdants valent mieux qu’un vaincu

Il y a très longtemps, les jeunes (dé)branchés se mettaient hors société le temps d’un joint.

Marie-Jeanne était la compagne d’un instant ou l’initiatrice d’autres débauches.

C’était le beau temps.

Mais les sachants, premiers de classe non reconnus, ont voulu faire connaître leur savoir.

Ils sont devenus souverains.

Ils ont réussi à faire prohibition de la fumette à la sauvette.

Mais, de tout temps et par tout temps, comme l’aurait dit Toutatis, les jeunes n’ont pas arrêter de singer leurs aînés.

Peut-importe si la majorité de ces derniers ont arrêté, l’essentiel est de continuer la voie tracée.

Alors, des petits malins, appelés pour la cause malfrats, se sont emparés du marché.

A eux les profits, tant pis pour la République.

Et tant pis pour les morts qui s’accumulent.

Il y a aura toujours des acheteurs.

Il y aura toujours des revendeurs cupides soucieux de s’enrichir pour faire comme leurs aînés.

Et, en plus, cela occupe la maréchaussée dénommée depuis forces de l’ordre pour faire croire qu’ils sont plus.

Le bilan est catastrophique est proportionnel aux capitaux qui partent en fumée.

Mais, les crânes d’œufs gouvernementaux, pourtant, bien souvent, accroc à drogues plus fortes afin de tenir leur rythme de compétition à la gloire recherchée, n’ont rien compris.

Ils décident de toujours réprimer, toujours plus, toujours plus fort, faisant croire que cette accélération est du fait du déclin du marché par leurs coups de boutoirs.

Et tant pis pour les morts qui s’accumulent.

Il y a aura toujours des acheteurs.

Il y aura toujours des revendeurs cupides soucieux de s’enrichir pour faire comme leurs aînés.

Alors, fiers de faire comme leurs aînés, ils décident de frapper fort au portefeuille des fumeurs de gitanes, ou autres célébrités plus ou moins blondasses.

Ils font mine, comme si, de ne pas voir le marché parallèle qui se développe de toute part sur les quais de gare ou salles pas perdues pour tout le monde.

Aujourd’hui, le trafic, ainsi volontairement généré par l’expérience, est gentil.

Mais, il commence à rapporter gros, près de 500€ par jour pour un bon revendeur, et progressera grâce aux augmentations inflationnistes.

Alors, Alors, des petits malins, appelés pour la cause malfrats, se sont emparés du marché.

A eux les profits, tant pis pour la République.

Et tant pis pour les morts qui s’accumulent.

Il y a aura toujours des acheteurs.

Il y aura toujours des revendeurs cupides soucieux de s’enrichir pour faire comme leurs aînés.

Et, en plus, cela désespère les tabacs en manque.

Mais, il est vrai qu’une idée comme elle est bonne les sauvera dignement.

Désormais, ils pourront vendre des cartouches aux chasseurs pour qu’ils puissent pratiquer leurs activités écologiques sans avoir à se déplacer bien loin.

Le bilan sera catastrophique et proportionnel aux capitaux qui partiront en fumée.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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