Certains utilisent abusivement mon style d’écriture pour détourner sciemment ma haute pensée sur certaines choses de notre vie actuelle.
Il en est ainsi du féminisme et de la réforme de la retraite.
Mais je sens que bien d’autres sujets y font front.
Alors soyons clair : je suis pour le féminisme et pour une réforme des retraites.
Concernant le féminisme, je ne me lasse pas de critiquer cette qui s’est transformée en égérie éclairée de la cause féminine.
Personnellement, je ne sens pas chez elle, comme chez d’autres d’ailleurs, une volonté réelle de rejoindre les deux sexes dans une égalité paritaire.
Mais, plutôt, elle dessinerait une esquisse de supériorité féminine qu’elle souhaiterait transformer en chef d’œuvre de dessin.
Or, si je comprends, adhère, espère, souhaite, qu’il n’y ait plus de différences dans les esprits entre l’homme et la femme sur ce que les deux doivent, je déteste cette manie qu’a cette personne de dire ce qu’il faut faire quitte à s’installer dans les foyers, jusqu’à leur intimité.
Oui, il faut que pour un même poste de travail, les deux soient payés à l’identique.
Oui, la société, car il ne s’agit plus affaire privée mais sociétale, doit tenir compte de la nécessaire maternité touchant la femme si les deux sont en désir d’enfant(s).
Et que l’on donne la possibilité au conjoint de prendre place post maternité, c’est une réelle avancée.
Encore faudrait-il que dans la réalité, vous savez celle où vit la majorité des gens, il n’y ait pas perte de revenu.
En effet, très souvent dans le présent, c’est le masculin qui a le meilleur salaire.
Et contre bon cœur mauvaise fortune, la loi économique s’applique au ménage et c’est la femme qui s’arrête pour éviter une hémorragie trop forte des bourses du ménage.
Passons à la retraite : je suis pour une vraie réforme qui annihile les énormité d’aujourd’hui.
Exemple : même un apprenti de 14 ans a droit à commencer le cumul de trimestres pour le travail fourni.
Et, pour lier femme/retraite, les années prises pour maternité devraient compter sans plafond.