Vous le saviez, vous le savez, vous le saurez
C’est connu, et tant mieux pour eux, ceux qui sont ministres ne vont pas faire eux-même leurs courses tant ils sont occupés aux affaires nationales qui leur sont confiées.
C’est sans doute pour cela que le maître de notre coffre-fort national de France, se fait un malin plaisir de faire savoir à tous sa joie de constater que l’inflation a baisser pour ne plus être qu’à 3,5 %.
Mais, peut-importe pour ce bel homme, droit dans ses bottes, sans doute sur mesure, que ce n’est vraiment pas le cal des choses alimentaires voire d’hygiène.
Et, cela continue de toucher très fort les pauvres, les plus pauvres… Vous avez dit désert médical ? Oui, en Lozère dans la France profonde, voire dans les espaces reculés des Landes ou en très haute montagne.
Cela va de soit.
Mais non, les zones désertiques ne sont pas la conséquence du réchauffement climatique dont tout le monde semble avoir pris connaissance, peut-être pas encore complète conscience.
Toutefois, les deux sont issue de la même conséquence idiote de la condition humaine.
Pour quelques sous de plus, l’être humaine est prêt à perdre chair humaine.
Et, si les océans et mers menacent de ravager la plupart de nos rivages entraînant les immeubles avides de beaux paysages, le désert médical s’intensifie.
Désormais, pour avoir droit à une radio de surveillance, certes de routine, il vous faudra attendre 6 mois de votre existence.
Et, ce n’est pas dans les Hauts de France ou l’Alsace profonde, mais bien en Île de France où non seulement la population est plus importante, et la densité la plus forte de notre territoire français.
Il est clair que si la France était vertueuse es qualité climatique, cela n’aurait guère d’impact réel sur la dégradation écologique actuelle de la Terre entière.
Par contre, si les efforts financiers actuellement engagés dans ces actions, véhicule électrique, isolation thermique, parc nucléaire, étaient redirigés vers des pays bien plus pollueurs en voie de développement, les résultats sur le climat seraient nettement plus profitables.
Alors, on continue d’avoir chaud à la maison ?