Tout est en ordre
Il y avait longtemps déjà des entreprises nationales avaient été cédées à des privés qui ne se sont pas privés de s’enrichir impunément.
Le concept « le privé fait mieux que l’état » avait été poussé jusqu’à licencier facilement les ouvriers sous couvert de plans sociaux dont aujourd’hui seul le nom a changé mais avec plus de brutalité.
Il y a eu confusion des genres d’un ministre, pour prendre au hasard un exemple parmi d’autres, qui a pu se permettre des passe-droits pour renier le droit.
Il y a toujours les marchands de sommeil difficile à prendre au fait tellement qu’ils se portent bine dans les dîners de ville entre notables.
Il y a ces concessions concéder à des sociétés privées ravies de l’aubaine de vivre avec un chiffres d’affaire et un beau bénéfice à la clef dont on se demande pourquoi leurs filiales embauchent à tour de bras des anciens bien placés dans la hiérarchie administrative et politique.
Il y a plein de trucs et machins qui son revendus sous prétexte que ça marche pas et tout d’un coup ça marche au pas.
Et il y a la confirmation par un ancien plus haut que des fréquences radio ou télé ont été refilées gratuitement permettant à des gens bien placés de se gaver impunément.
Aussi, le coup du retrait de l’Isf n’est-il qu’une continuité logique de la logique des saigneurs qui nous gouvernent.
Rajoutée à cela la belle affaire de faciliter les licenciements pour qu’il n’y ait plus de chômeurs et la théorie libérale capitalistique est bien mise en place.
Bien entendu, il y a son revers de médaille qui dit que lorsque l’on dépense à tout va, il faut les entrées correspondantes.
Que celles-ci viennent à disparaître et l’on dépense moins.
Chacun peut le vérifier sur ses comptes personnels.
Alors, l’on continue à vider les caisses sociales pour faire remarquer qu’elles sont plus vides que jamais et qu’il ne saurait être question de vivre en déficit social ? Sul le déficit capitalistique est autorisé par les hautes compétences.