Sur que c’est cher
Quoi qu’il en coûte, c’est la devise bien comprise par le réélu à faible majorité.
Il a décidé en conséquence une marge campagne anti-pauvres.
Pour cela, un budget de 4 300 milliards d’euros est prévu.
Ce sont les militaires qui tireront les premiers.
Ils utiliseront cette cagnotte pour s’armer.
Ainsi, ils pourront larguer leurs bombes sales sur les quartiers très pauvres, pauvres, voire futurs pauvres.
Ainsi, débarrassés de ces gêneurs de tourner en rond, l’état pourra vraiment gouverner entre-soi.
Seul bémol, l’incapacité de trouver une large base pour encaisser une forte tva sur les produits de premières nécessités.
Mais, il restera une classe moyenne ravie d’avoir survécu.
Ils pourront à leur tour être pressés comme des citrons.
Remarquez, ils sont habitués puisque les pauvres ne payaient aucun impôts comme pratiquement les riches, les vrais… Il est vrai que les choses ne sont pas aussi simples que l’on aimerait le croire.
Ou plutôt, peut-être, par ce que l’on a des difficultés à penser compliqué.
Mais, tout de même, en 2022, l’on enregistrait 27 millions d’actifs pour un taux effectif d’activité de 73,6 % contre 25 millions en 1985 pour 68,2 %.
en conséquence, les choses s’améliorent.
Alors pourquoi autant de cirque autour du projet de réforme des retraites orchestré par notre monsieur pas très loyal ?
Si déficit des caisses vieillesses il y a, serait-c du à autre chose comme par exemple la baisse des cotisations sociales tant voulues par les déjà très riches patrons ? Les projections 2070 prévoient 39,2 millions d’actifs.
De même du constat du déficit record de notre dame de France qui permet, en même temps à nos banques d’être parmi les plus grandes, les plus fortes.Quel rapport ? Ce déficit est logé dans les actifs bancaires… Les banques disent-elles merci à leur ancien banquier ?