Savoir, ce qui nous reste
Nous le savons, la guerre d’aujourd’hui à l’est européen est le prémisse d’autres risquant à venir.
Non pas de ce petit empire sur lequel règne encore celui qui se prend pour tsar de toutes les Russies (étendues).
Mais bien, par exemple, de cet autre grand qui aujourd’hui a arrêté sa guerre contre la Covid.
400 milliards à donner le tournis, sont déposés aux pieds des guerriers.
Passons sur le fait que lorsqu’il s’agit de tuer, les euros à gogo quoiqu’il en coûte coulent à flot sans qu’il soit besoin d’évoquer un ruissellement aléatoire.
L’on demande à quoi peut servir cette abondance si par ailleurs nous sommes pieds et poings liés devant ces éventuels saigneurs s’ils peuvent nous étrangler en arrêtant de nous produire les cellules nécessaires à la production de nos médicaments indispensables pour notre vie ?????
Devant la forte mobilisation syndicale, les membres du gouvernement doivent aller sur le terrain dire qu’il n’est jamais trop tard pour parler.
Ils entendent ne pas fermer les portes aux syndicats.
Mais pourquoi donc ces gens n’ont-ils pas retiré les leçons des concertations préalables ? Évidemment, les partisans de la réforme appuie très fort sur les efforts qui sont faits pour les petites retraites.
Alors pourquoi manifester, méchants garnements ? Il est vrai que ces gens n’auront donner aucune explication sur le dernier, à ce jour, cadeau fait aux entreprises en supprimant la CVAE qui rapportait 8 milliards d’euros par an.
On aurait pu penser que cette manie de contester les élections réalisées venaient de gens populistes, voire encore pire.
Or, l’on constate que dans ce parti fourre-tout de ce qui représentait la gauche dite gouvernementale, la folie s’empare des perdants.
Il y avait un comique qui avait nargué une lessive lavant blanc plus que blanc.
Aujourd’hui, l’on n’arrête pas le progrès puisqu’une pub d’aspirateur se vante d’aspirer une poussière invisible ; comprendo ?