IdéesRéflexions

Quel progrès

L’esclavage perdure toujours y compris en France.

Et, en masse, les concernés sont des migrants sans papier.

Et, comme ils n’exercent pas dans les métiers dits tendus, ils ne pourront pas bénéficier du projet de loi visant à donner des papiers à ceux qui travaillent depuis un certain temps dans des conditions hors la loi.

Et, inutile de dire que ce sont principalement des salariés précaires pauvres qui forment le gros des bataillons.

Mais, il arrive que dans les beaux quartiers, des non migrants subissent la loi de l’esclavage.

Il en est ainsi d’un célèbre footballeur que ses patrons ont décidé de mettre en vente comme le fait notre homme le plus riche de la Terre avec ses produits de luxe.

A méditer.

Il fut un temps, pas moyen d’assurer son habitation sans tomber sous les fourches caudines d’un questionnaire à rallonges qui vous demandait tout sur ladite.

Et, si vous passiez un certain seuil, un inspecteur venait voir votre trésor.

Désormais, vous l’avez constaté, à part quelques exceptions près, fini les ad valorem, superficie développée à faire rougir un technocrate non assureur, voire un architecte.

Un assureur avait même été jusqu’à inventer une police ticket.

En trois renseignements plus votre signature et votre paiement, l’assurance était acquise pourvue que le nombre de pièces principales y figurait ; c’était encore plus simple et rapide que l’Internet d’aujourd’hui.

Et, il y a eu ces mutuelle sauvages qui descendant le faux montant des primes, appelées cotisations pour mieux se faire voir, obligeaient à plus de simplification encore.

Alors tout le monde pour survivre s’y est mis : même les sinistres peuvent être déclarées via une application téléphonique.

Et, cela continue puisque qu’en avril 2024, vous ne recevrez plus votre vignette joliment apposée sur votre pare-brise.

Mais un cabinet de courtage sauvage propose de vous sur-garantir à la journée si vous deviez emprunter un véhicule à un propriétaire complaisant… En attendant, peut-être que les seniors devront revoir leur permis de conduire.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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