Nous savons tous ce que moyenne veut dire.
Parfois, l’on aimerait être en-dessous, parfois au-dessus selon les situations de son interprétation.
Mais, côté alimentaire, entendez ce qu’il vous faut en moyenne pour vous nourrir, la nouvelle n’est pas bonne en 2022.
Et cela devrait être pire en 2023, voire les années qui suivent.
Et ce n’est pas parce qu’en pays d’Outre Rhin, c’est plus fort, que nous pouvons être heureux de savoir qu’il nous faudra, toujours en moyenne, 224€ de plus et par personne pour se nourrir à l’année.
Il est évident que, à ce compte la, ceux qui ne mangeaient déjà pas ou mal, vont faire des économies virtuelles.
Cela sent sent fortement les vacances hors de chez soi écourtées, voir écartées purement et simplement.
Il est évident que pour cette moyenne tout le monde trouvera les astuces utiles pour être le plus largement possible en-dessous.
Ce sera bien une des premières fois où l’être humain se voudra inférieur.
Or, savez-vous que ce chiffre a été obtenu en espérant que les distributeurs de tout poils ne répercutent que 75 % des hausses enregistrées ? Or, qui est intégré chez ces charmantes personnes ?
Le gentil salarié qui n’arrive plus à se nourrir correctement et à qui l’on va demander de faire encore des efforts malgré les annonces de mesures pour réduire la facture.
Si, si, jamais les actionnaires n’accepteront que quelqu’un d’autres qu’eux ne digèrent leurs si chères dividendes.
Que celui qui n’aime pas les rentes soit le premier à leurs jeter la pierre.
L’un de mes amis assureurs m’avait lorsque je commençais à exercer ce beau métier que l’assurance menait à tout pourvu d’en sortir.
Elle m’a emmené jusqu’à la porte de sortie organisée par un licenciement qui ne se voulait pas collectif du fait de joyeux garnements syndicalistes de surcroît administrateurs de l’édifice.
Et ce n’est pas cet autre Pdg, courtier en fait, qui relèvera la technique en séquestrant des femmes pour en faire ses objets sexuels.