L’homme réélu avec une majorité relative, ne veut pas tenir compte du nombre important d’abstention, de la forte percée de l’extrême droite et du succès de la nouvelle union de gauche.
Fidèle à lui même, il se considère seul beau.
En conséquence, il n’entend pas dépasser ses bornes et demande à sa première de former un gouvernement de combat.
Ce dernier sera chargé de mener la bataille sur son seul programme y compris surtout la réforme des retraites honnis pas 76 % des français.
Tant pis pour eux, ils n’avaient qu’à le faire savoir.
Ils ne l’ont pas fait dans les urnes, vont-ils le faire dans la rue ? Comme il sait qu’il ne peut plus prétendre à sa propre réélection, cet homme veut laisser trace dans la grande histoire de son pays et imposer sa vision de société à des gens qui pensent différemment.
C’est cela le sens de sa démocratie.
Il commence déjà en acceptant un hausse forte des loyers sans aucune compensation équivalente des aides au logement.
Car, sur ce point et comme d’autres il n’est pas question de faire du en même temps sur ses propres mesure de retraits sociaux.
Il les avait baissées de 5€/mois, il n’a pas l’intention de tenir compte de la forte inflation qui s’installe durablement dans le pays.
La droite extrême se réjouit d’être en si bon pays même après avoir été lapidée en rase campagne.
Mais attendons de voir quel nouveau gouvernement va voir le jour sous la coupe réglée de la première reconfirmée à son poste éjectable.
Revenons sur l’essai de tentative de mettre dans la Constitution le droit à disposer de son corps, notamment l’avortement.
Certains estiment que ce serait ouvrir la boîte de pandores permettant dans le futur à des mal intentionnés d’y inscrire des trucs inavouables.
Certes, mais comment peut-on croire que ne rien faire aujourd’hui permettrait l’inertie dans le futur ?