La vérité fait mal à dire
C’est terrible la déviance acceptée.
Tenez une journaliste présentatrice d’un grand quotidien télévisé de dire que certains ne se donnent plus le droit de se soigner les dents, par exemple, car les mutuelles remboursent peu.
Et la Sécurité sociale, on en parle quand ? L’on sait depuis des décennies la plaie qu’est le chômage.
Déjà, lorsque le virus s’était propagé, les entreprises avaient été montrées du doigt style je licencie les salariés âgés qui ainsi profitent d’une préretraite à très faible coût pour l’employeur mais pesant lourdement sur les prestations sociales.
Mais les sociétés n’ont pas cédé fortes de l’appui de tous les gouvernements sous des prétextes fallacieux.
Au contraire, elles ont reçus des aides en masse pour faire mieux.
Et elles ont fait mieux en sens inverse, mais ont conservé l’argent national pour mieux faire des profits individuels d’actionnaires.
Mais le pli est pris, aucun retour envisagé.
Alors, l’on tape sur les chômeurs qui ne chercheraient pas d’emplois.
Certes, il y en a, heureusement car pour plus de 4 millions de chômeurs, il n’y a que 300 000 postes libres… Pour mémoire, 95 % des postes fournis le sont à l’aide de contrats courts dont plus du tiers concernent une durée inférieure à une semaine.
Oui, vous lisez bien, très bien même… Il vaut vraiment mieux ne pas être dans cette situation, même si les braves gens pourvus d’emploi disent que les chômeurs sont des fainéants dans la droite ligne de leur maître à penser l’illuminé.
Comment une telle dame qui prétend vouloir prendre les commandes de la rance gouvernementale peut dire de telles fausses vérités ? J’avais déjà exprimé mon dégoût devant son mensonge répété voulant faire croire qu’un réfugié touchait autant, voire plus, qu’un retraité.
Mais elles persiste en d’autres matière comme l’Europe qu’elle dénigre à tout va mais s’en sert pour s’en mettre plein les poches de son parti qui la fait vivre.
Mais peut-être, après tout, ne veut-elle pas prendre les commandes comme tant d’autres avant elle et en parallèle, suivez mon regard…