Les gouvernements actuel et précédents n’ont pas voulu prendre à bras le corps le problème de la santé.
Bilan des courses, pour financer les besoins, l’état a fait appel au privé qui s’est empressé d’occuper l’espace.
Et, c’est ainsi que des structures se sont identifiées pour faire face aux besoins.
C’était tellement beau qu’il fallait louer ces philanthropes au service social des concitoyens.
Ce qui, au passage, permettait d’accepter quelques petits arrangements entre gens de bonne compagnie.
Mais, la réalité a fait face.
Une entreprise est une entreprise, un patron un patron.
Et ces deux-là s’entendant comme des larrons en foire ont fait passer avant toute chose leurs intérêts privés.
Et, libre de faire ce qu’ils voulaient en leurs espaces privés ; ils vivent sur la bête.
D’autant plus que les clients n’étaient guère dans la situation d’aller se plaindre et encore moins de se faire entendre.
Et, c’est pourquoi, des lieux de vie deviennent de vrais mouroirs où la vraie efficacité est le turn-over toujours plus rapide des lits.
Au suivant, au suivant comme avait dit un grand… Super, les grands distributeurs sont ravis.
Le ministre de vos économies a donné blanc seing à ces gens pour qu’ils exercent leur talent en marketing.
Ainsi, comme toujours, ils feront ce qu’ils veulent dans l’intérêt de leurs seuls réseaux.
Leur geste de perlimpinpin sur quelques produits de leur propre marque sera largement compensé par des achats habilement dirigés vers des marges à faire rougir.
Oh, le couillon, il a décroché la troisième étoile.
Mais serait-il aussi bon marché que son homologue de Bourgogne ? La première journée de ce qui risque être une longue série de coupures permet à certains observateurs de douter de la pertinence des arrêts.
D’autres disent que, bof, c’est moins fort qu’hier ; donc ils n’ont pas l’intention d’en tenir compte.
A suivre…