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Indispensables, vraiment !

Le sexe, c’est comme la bouffe. C’est la complémentarité assurée, personne ne passe au travers.

Regardez ce film qui porte bien son nom La Bouffe.

C’est joué théâtralement puisque c’est filmé.

Mais, sur les planches d’un vrai théâtre, il n’a pas été joué.

Enfin cela pour dire que l’être, humain ou pas, se doit de prendre au sérieux l’un ou l’autre.

Même si l’autre peut prendre le pas sur l’un, on n’en réchappe pas.

Tous pareils, non car il y a d’infinies manières d’être qui correspondent bien au genre humain.

Bien que certaines font douter de l’espèce.

Hier, comme parfois aujourd’hui, l’on mangeait avec les doigts qui nous servaient à nous torcher.

Ce qui est toujours valable aujourd’hui.

J’avoue n’avoir jamais tenté d’essayer avec une fourchette.

Hier, si les enfants étaient la garantie d’une retraite matérielle pour les géniteurs, ils servaient aussi à certaines pulsions que la main spontanée aux fesses passait pour une plaisanterie.

C’est comme la baffe qui sort dont on ne sait pas d’où mais que l’on sent bien entrer en soi.

La plaisanterie de mettre fin au célibat pour mettre fin aux actes pédérastes des religieux n’est que prétexte d’une excuse pour tenter finir en bonne place au paradis où il y a plein d’anges pour soi.

En fait, demander au pasteur du coin si marié, il n’a jamais voulu vraiment s’occuper d’une brebis égarée.

Combien de matrones se sont-elles servies de leur puceau pour satisfaire un remontant impossible à gérer par l’homme qui reste au pieu sans jamais plus pouvoir remonter la pente ? Mais, c’est bien connu, il n’y a viol que si l’autre est forcé.

Or, qui oserez dire que le bras levé n’est pas que spontané ? La grosse bouffe était célèbre dans ces dîners romains ou gaulois où l’on se passaient les plats.

Parfois, pour un oui ou pour un non, l’un se le prenait à pleine dents.

Regardez ce film d’oranges mécaniques où d’aucun n’y voit violence gratuite là ou d’autre y ressente un mal être de vivre de jeunes en déshérence.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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