A l’époque actuelle, faire 5,6 milliards de bénéfices, soit plus de 10 % de son chiffre d’affaires, ça décoiffe et rassure le patron sur l’avenir.
Par contre, les salariés, eux, sont toujours sur la sellette de savoir à quelle sauce ils seront mangés.
Ici, dans cette affaire, c’est le grand bouillon et si la vengeance est un plat qui se mange froid, eux sont désormais chauds.
Jamais, l’on n’avait un tel plan social aussi ridicule pour une entreprise de cette taille qui an des antennes partout en Europe et bientôt plus en France.
Même les plus de 55 ans n’auront pas le droit à leur pré-retraite tant le marché du travail manque de bras.
Plus de 200 salariés sur le carreau du déshonneur de l’avidité des actionnaires.
Pourtant, ils en avaient soupé des plans de réduction d’effectifs, de l’exportation des valeurs ajoutées transférées dans d’autres endroits à plus de profit.
Pourtant, les plus de vingt d’ancienneté pensaient avoir droit à un peu de reconnaissance.
Que nenni, l’employeur a décidé que son effort porterait sur la ré-employabilité de ses effectifs.
Point barre, dégagez.
Et, il n’est pas question pour lui, ni d’ailleurs pour le gouvernement qui s’en tamponne, de rembourser les aides de toutes sortes reçues notamment celles liées au trop fameux Cice chargé d’aider les sociétés à investir pour ne pas licencier.
Comme quoi qu’il y a loin de l’idée à l’effet surtout lorsque l’on donne sans aucune vraie contre-partie.
Mais, chez l’ami des banquiers, le riche est roi, lui voudrait être empereur.
Pour ce faire, il passe son temps à jouer des mauvais tours à ses rivaux les plus certains même si ceux-là n’ont pas eu le temps de virer les poussières de dessous leurs tapis.
Un étonnement, lu dans mon hebdo « l’égoïsme des vaccinés » dont le tort serait de ne plus respecter les gestes barrières.
Mais à qui pourraient-ils refiler le microbe tout entier ? A ceux qui ne sont pas vacciner, alors serait-ce l’hôpital qui se fout de la charité ?