Désespérant
Ouf, j’ai eu peur, d’un message reçu : ce n’est pas une maison, c’est la vôtre.
Comment, ils m’ont déménagé sans me prévenir, sans que j’ai eu mon mot à dire, pourquoi, qu’ais-je donc fait ?
Je vérifie toutes mes pièces, sort voir l’extérieur, non rien n’a changé.
Le message est faux, c’est peut-être une maison, mais ce n’est pas la mienne.
Si elle vous intéresse, pas la mienne la future vôtre, vous pourrez l’acheter, elle reste bien à vendre.
Bonne journée.
A propos, je m’amuse à voir les possibilités en Bretagne, dans le Morbihan, plus précisément en bordure de la petite mer ou l’une de ses belles rivières dont je me demande pourquoi qu’elles ne sont pas nommées fleuve…
Et figurez-vous que ma compagne, qui est ma femme depuis tant d’années, se plaint de recevoir sur ses écrans des pubs correspondantes alors qu’elle, elle n’a rien demandé, rage d’avoir le wi-fi dépendant…
Par contre, moi, entre autre, de charmantes qui se disent voisines, coquines et dociles, me font d’agréables propositions que je ne saurais pas tenir ; vous croyez que ???
Mais il en serait peut-être autrement si je pouvais bénéficier de tout ce luxe à la française élyséenne dont l’impérieux voudrait se débarrasser pour quelque chose de plus moderne : anglo-saxon, européen, asiatique, africain ou toujours de nos bons vieux artistes français qui attendent tous un coup de pouce dont bien d’anonymes méritent reconnaissance et fin de pauvreté.
Mais pas d’inquiétude, le mobilier et autres semblent sortis tout droit du mobilier national.
Tant pis pour les actuels, les héritiers en profiteront peut-être ; à moins que les artistes d’ailleurs y fassent bonne figure tant l’actuel impérieux trouve bon genre à sa nouvelle politique d’aller chercher ailleurs ce qu’il aurait à portée de main.
Mais comme le dit une certaine pub, il y a moins bien, mais c’est plus cher.