Déni…
C’est curieux comme un doigt levé en honneur à un convoi officiel de la république pas bananière d’Outre atlantique, renfermant un président armé, soulève des actes autoritaires surtout depuis que l’acte sacrilège figure en une de la page d’un réseau social.
Comme quoi il est vérifié que la liberté ne va que dans le sens des puissants, viré pour ne pas avoir apprécié de s’être fait niqué c’est plus que du harcèlement.
D’autres se sentent harcelé, décident qu’il y a déclaration de guerre et notre va-t-en impérieux fait première escale en ces pays tourmentés de ne pas comprendre de la même manière leur grand livre sacré.
Est-ce que quelqu’un, de moins illuminé façon fêtes de Noël, pourrait leur dire qu’à l’instar d’un autre consacré, il ne s’agit ni plus ni moins d’une fable romanesque voire d’un recueil de poésies que l’on peut ou pas apprécier mais qui ne justifie certainement tout ce bordel effectué en son nom d’un chien écrasé à rappeler aux journalistes ce pour quoi ils sont payés.
Et le ministre droitier d’un gouvernement de droite qui s’insurge contre les exilés fiscaux qu’il vient de découvrir naïvement, de déclarer que faire en sorte ne pas payer d’impôts était un acte de terroriste, c’est moi qui le dit, contre la démocratie nous révèle tout l’importance de faire de la politique autrement : ceux qui sont à gauche pensent à droite, la droite devient gauche et vice versa, ce qui permettra officiellement de recaser ses compagnons de route là où il y a encore de l’espoir pour eux.
Peut-importe l’étendard mené au combat pourvu que l’on dure au moins jusqu’au temps d’une bonne retraite méritée.
Et la très digne officielle maman de la capitale continue les honneurs du canard dévoilant ses turpitudes qu’elle aurait bien aimé rester cacher, à suivre…