Le roi de la finance avait été élu empereur de l’escroquerie.
Il s’est fait prendre les doigts ruisselants de miel d’abeilles en perdition.
Il n’a pas supporté.
Il est mort entre 4 murs sans remords.
Désormais il sera encore plus serré.
Ce monsieur qui ravive peut-être quelques douleurs non mortelles à certains, nous rappelle que la Covid ne doit pas faire oublier le quotidien.
Il faudrait juste que dans leur conscience les politiques de tout bord.
Ils se fichent de nous les consultants, journalistes, économistes, tous libéraux à en perdre leur respiration.
Ils ne cessent de réclamer l’importance des entreprises innovantes en demandant que l’État les aide.
Cela sous prétexte, en excuse à tout rompre, que lorsque l’entreprise fera de bons gros bénéfices cela fera de bons gros impôts pour la collectivité de l’État.
Or, en parallèle par ailleurs, ils ne cessent exiger le moins d’impôts possible pour des entreprises qu’ils considèrent étrangler.
Étrange cette dichotomie, à moins que le jeu de billard français n’intervienne ici.
En fait, après les mauvais coups portés à trop de fonctionnaires possédant l’emploi à vie qu’ils vomissent, ces (mal) gens s’attaqueraient, plutôt, encore et toujours encore, aux trop fameuses charges sociales qui ne permettraient pas aux mêmes entreprises de payer correctement leurs trop méritants salariés.
Or, cadres dirigeants s’entend, puisque les personnes issues de la même engeance ne peuvent convenir que de rester entre-soi.
L’horreur pour ces personnes : « Les fonctionnaires et salariés ont té socialisés ».
Passons sur le fait que ce n’est pas le cas pour les patrons et leurs entreprises.
Par exemple, les quelques milliards donné à l’avionneur où ça ne plane plus pour lui, alors que l’hôpital est de plus en plus dépouillé.
Voilà que maintenant, l’illuminé veut s’emparer de l’occasion de comparer sans raison, le symbole religieux avec la pandémie.
Comme si la chose qui ne devrait concernée que les initiés devaient être comparable à cette horreur qui a tué plus de 100 000 personnes.
