Contradiction, ah bon ?

Dans une information angoissante, il est question d’une « démission de l’ancienne directrice ».

Comment une ancienne, qui n’est donc plus, peut-être à nouveau partir ? A moins que « ancienne » veuille concerner l’âge de madame puisque c’est au féminin ? Ou alors, c’était l’ancienne d’un poste qui a démissionné d’un autre poste ? Intéressant, je vais lire ce psycho drame en perspective.

Et bien la vérité est une simple démission d’un simple poste.

Elle en avait marre de traiter de problèmes qui tournaient en rond comme sa maison, ancienne du coup.

Mais, la courageuse, a-t-elle appris des bouleversements apportés à la notion de chômeur, ou chômeur l’équité fonctionne dans ce cas la aussi ? Il faut croire que oui car son action a été déclenchée avant la date fatidique du début février 2023.

Décidément tout est à l’envers dans ce monde plein d’incertitudes.

Un institut habitué à sortir des rapports de banalité affligeante consistant habituellement à taper sur la tête des salariés et plus précisément les petits plus faciles à atteindre puisque plus nombreux et surtout précaires.

Et bien sachez que dans un nouveau, ils sortent un scoop de taille, ou plutôt plusieurs.

Le burn-out touche également les travailleurs aux 35h/semaine.

D’ailleurs, depuis 20 ans la durée de travail ne s’est pas modifiée et le temps pris pour sa profession serait plutôt de l’ordre de 37H chômeurs inclus.

Mais, et surtout, les salariés se plaignent de leurs managers qui ne savent pas managers.

Pourtant, si les patrons voulaient voir clair dans leurs rangs, ils sauraient quoi faire pour faire admettre une retraite à 64 ans.

Ouf on respire, la voix gouvernementale est sauve même s’il faut faire porter le chapeau à l’ensemble de ses petits copains.

Les très minoritaires n’ont plus qu’à dire oui pour que leur démocratie prenne place.