Dans un temps passé très court, mais c’est déjà tellement loin, la pression médiatique et surtout de droite était sur le thème « Sauvez nos bars-restaurants ».
Aujourd’hui, il n’y a plus personne au rideau fermé.
Il est vrai que la plus grande partie arrive à en sortir grâce aux aides appelées indemnisations pour ne faire pleurer personne et le commander c’est emporter qui marche bien d’après certains.
Alors, désormais, maintenant, tous se précipite au chevet de la culture comme s’ils avaient obtenu un contrat d’intermittent.
C’est à qui voudra ouvrir son truc machin, les maires veulent faire à nouveau entrer les visiteurs dans leurs musées jusqu’à la pasionaria de la culture non paysanne demande à faire des tests en temps réels dans une salle de spectacle.
Ce qui autorise d’autres maires à dire que l’on pourrait en faire autant dans leur stade.
Ajoutons à cette cohérence d’esprit, le mea-culpa des médecins alarmistes qui nous annonçaient la catastrophe devant le refus de confiner aux oubliettes la population entière.
Mais , qu’il en faut du courage à des êtres imbus d’eux-mêmes de reconnaître quelques erreurs de jugement.
Même si certains fatalistes résistent encore.
Février c’est le pied.
Allez sur Mars et ça repart.
Mieux que la marche sur la Lune, il va y avoir en léger différé, vu la distance allongée, « l’amarsrissage » d’un engin qui va nous gaver de plein de photos rouges.
Mais mars peut-être aussi la fête aux variants présents en France.
Ça se corse pour l’ancien secrétaire d’État qui aime tant masser les pieds et peut-être plus s’il est vraiment excité.
Prison ferme pour l’homme fétichiste.
Mais il espère bien que la Cassation fera son rôle de casser ce verdict.
La justice a ses variants, ces spécificités régionales, départementales voire villageoises.
C’est ainsi que pour certaines il vaut mieux être jugé en Sud de France pour se demander où se trouve la République de France non bananière.