Désormais, il y aura trois catégories de français en attendant la 4ème.
La 1ère est l’excellence de ceux qui auront pu avoir leurs trois doses complètes.
Lorsque ces derniers ont eu leur chance de l’obtenir dans les embouteillages en impasse des listes d’attente pour figurer dans les files éponymes.
A titre d’info, qui pourrait servir le cas échéant d’exemple, pourrait être un de ma famille pour lequel il lui est proposé une date en mai 2022.
Ayant, ce qu’ils appellent une comorbidité, son médecin traitant lui a confirmé qu’il ne traitait pas à ce niveau.
En effet, pour ce faire, il devrait aller à la pharmacie du coin à 6h pour aller chercher les doses lui commence ses journées à partir de 10h.
Puis, compter sur ses clients pour qu’ils répondent positivement au rappel afin de ne pas perdre de doses.
La deuxième catégorie est celle qui se trouve à deux doses seulement quels qu’en soient les raisons.
Ils devront passer un test pratiquement à chaque fois qu’ils voudront se rendre dans un lieu public tels les resto ou cinémas et bien plus encore.
La 3ème, la moins bien lotie mais pas forcément la plus à plaindre, sera contente de savoir qu’elle peut encore sortir à l’air libre.
Mais le revers de la médaille sera peut-être positif puisqu’il faudra embaucher pour retirer « Liberté » mal placée sur les frontons des mairies.
Quoique, à peu de choses près, le constat avait été presque identique avec le commencement de l’identification claire et signalée des fumeurs qui étaient, et le sont toujours, priés d’aller se faire voir à l’extérieur pour pratiquer leur épouvantable vice à empêcher les autres de vivre.
Mais aujourd’hui, tout va bien, c’est rentré dans les mœurs utiles.
Tout est bien qui s’est bien terminé.
Au fait, pas vraiment question de renforcer significativement les personnels de soins et de santé (mais pas des pieds) : il y a le déficit quoiqu’il en coûte à combler.