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Au secours, ça demeure

L’extrême droite remonte à plein régime.

Et ce ne sont pas les lutins non plaisants de la droite ou de la gauche qui seront vraiment capable de renverser la table.

Au lieu de se tenir debout droits dans leurs bottes, ils enfourchent les vieux chevaux qui ramènent tout droit aux écuries des états noirs.

Ces gens là prônent en fait pour leur grand remplacement de leurs croyances contre celles qui les désespèrent.

En premier lieu, ou premières lettres inscrites par la Révolution française sur les frontons des monuments publics : Liberté Égalité Fraternité.

Et, malheureusement, contre cette belle avancée, ces gens sombres sont aidés par les forces d’extrêmes gauches sectaires.

Mais, la majorité silencieuse, même si elle laisse faire les mal parleurs, n’ en démord pas, ne rompt pas.

Elle plie seulement sur son travail qu’elle doit exécuter dans son quotidien.

Il faut bien ramener son pain toujours de plus en plus cher.

Et c’est sans doute pour cela qu’un certain patronat se refuse à la réduction du temps de travail pour éviter que ses si chers salariés n’aient le temps d’ouvrir les yeux de réfléchir à eux, à ce qui donnent vraiment sens à leur sens.

Pensez qu’il puissent avoir des gens, à part eux s’entend, qui prendraient du temps de travail pour satisfaire leurs besoins élémentaires – hors classification Maslow – et le reste pour se satisfaire les défrisent pleinement.

Non, le travail forcé n’est pas le but ultime d’une vie obligée.

Par contre, vivre décemment par rapport à soi devrait être l’essentiel de sa vie parmi d’autres qui vivent bien leur vie.

Mais si l’on écoute la représentante d’un parti qui désormais penche pour une sociale démocratie l’on peut se demander où chercher l’espoir.

Tenez lorsqu’elle dit penser aux population, c’est parce qu’elle pense profondément que la transition énergétique ne pourra se faire sans un peu de social Autrement dit heureusement qu’il y a réchauffement planétaire pour que l’on accepte de faire social.

Merci la Chine et les États-Unis.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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