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La voiture hybride rechargeable est peut-être la solution pour demain

Je crains que l’on ne se soit trop rapidement enthousiasmé pour les voitures électriques sans trop se poser les bonnes questions, l’autonomie des batteries par rapport à l’usage que l’on veut en faire et les conditions de les recharger.

Il faut aussi se demander si notre approvisionnement en électricité est garanti lorsqu’il y aura plus d’un million de véhicules électriques en circulation, alors que le gouvernement actuel, à écouter Nicolas Hulot, entend continue à suivre la politique de sortie progressive du nucléaire sur laquelle François Hollande s’était engagée, sans préparer le relais.

Je ne suis pas le seul à me poser la question, alors qu’aux États-Unis, après la livraison des premières Tesla 3, sur les 400 000 précommandes de ce type de véhicule électriques, les désistements s’accumulent.

Entre-temps, les véhicules hybrides rechargeables creusent leur chemin en France, on a dénombré en 2016 quatorze modèles disponibles sur le marché.

Pour le commun des mortels, le véhicule hybride a deux moteurs, un électrique et un thermique prévu pour prendre le relais du premier s’il n’a plus de courant, c’est lourd, compliqué et coûte cher.

Disons que c’est presque ça, mais pas tout à fait, d’autan plus qu’il y a plusieurs types de véhicules hybrides rechargeables, mais tous ont bien deux moteurs.

Le véhicule hybride classique partage la possibilité de recharger sa batterie de manière externe, comme une voiture électrique intégrale, alors que d’autres se rechargent en cours de circulation, au moyen du moteur thermique.

Dans ce domaine, ce sont les hybrides haut de gamme qui sont les plus performantes.

Pour le moment, les conducteurs limitent l’autonomie du moteur électrique pour réduire le poids des batteries, pour la seule utilisation en trafic urbain et pour les trajets sur autoroute il faut une voiture hybride que se recharge en cours de route.

Tous les constructeurs veulent se placer sur ce créneau, en cherchant à les rendre accessibles au plus grand nombre, dont dépend leur pénétration sur le marché.

Judex

Judex est un juriste de la vielle école qui a fait sienne la maxime du professeur Léon Mazeaud, son président de thèse de doctorat , "Que le droit ne s’apprend pas mais se comprend "  en ajoutant " à la condition d’avoir, si possible, l’intelligence du droit "

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