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Les élections municipales auront bien lieu aux dates prévues mais …

Le risque de contamination par le coronavirus Covid-19 n’est pas quantifiable, il dépend de deux facteurs, celui de se trouver à proximité d’une personne porteuse du virus et de sa propre vulnérabilité aux infections de toute nature, qui nous guettent en permanence.

Il y a des personnes qui choppent tout ce qui passe et d’autre jamais sans que l’on sache pourquoi mais sans savoir si sa peut jouer dans tous les cas.

Celui qui se sait particulièrement exposé aux infections doit rester chez lui, ne fréquenter personne surtout s’il est paranoïaque, car le SARS-Cov-2, qui est son nom scientifique du coronavirus Covid-19 semble particulièrement contagieux.

L’épidémie qu’il provoque fait planer le risque d’une abstention en hausse aux scrutins des 15 et 22 mars, c’est un scrutin local, celui qui conduit à l’élection du Maire, qui peut être plus importante dans l’esprit de certains électeurs, qu’un scrutin national.

Les élections municipales auront bien lieu, malgré les craintes liées au coronavirus a décidé l’exécutif, qui avait certainement ses raisons, alors qu’elle aurait pu être reportées d’un an, en sachant qu’il y a des précédents pour cela.

C’est risqué pour le second tour du 22 mars, plus que pour le premier, car la situation s’aggrave de jour en jour et qu’elle n’est pas la même partout en France.

Selon une enquête Elab, notamment pour des organes de presse, les 3 et 4 mars, 63 % des Français envisageaient d’aller voter à cette date les 15 et 22 mars, ce qui est conforme aux normes.

Toutefois, la situation de la contamination s’est singulièrement aggravé depuis, au point que le pouvoir a décidé de mobiliser la réserve médical, les étudiants en médecine et les médecins à la retraites, ce qui rappelle de mauvais souvenirs, en d’autres circonstances, ce qui fait qu’aujourd’hui, on n’est plus sûr de rien.



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Judex

Judex est un juriste de la vielle école qui a fait sienne la maxime du professeur Léon Mazeaud, son président de thèse de doctorat , "Que le droit ne s’apprend pas mais se comprend "  en ajoutant " à la condition d’avoir, si possible, l’intelligence du droit "

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