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Les Bourses ont saisi l’occasion du corona virus pour plonger

Les cours de bourses ne peuvent pas longtemps rester stables, sinon les Bourses perdent leur attrait, or les grands groupes comme ceux du CAC 40 en France, qui sont suivis par les boursicoteurs sont rarement à l’origine de bouleversements, comme le rachat de Monsanto par Bayer, piégé par les procès intentés par les victimes du glyphosate aux Etats-Unis.

C’est dans ce contexte, qu’une épidémie comme celle du coronavirus produit, comme tous les évènements de cette importance, une véritable purge des cours, qui s’effondrent par vagues successives.

Les investisseurs s’inquiètent des dégâts économiques provoqués par l’épidémie et, en mettant tous ensemble les titres qu’ils détiennent sur le marché, ils provoquent l’effondrement des cours, que ce soit du fait de la pression de la clientèle ou par manque d’argent.

Dans une crise comme celle du coronavirus qui touche principalement les déplacements, de plus en plus importants et les manifestations de toute nature qui attirent des foules, sont affectés par la peur des contaminations, ce qui touche les activités les plus sensibles, comme le transport, le tourisme et les loisirs.

Dans ce cas particulier, les conséquences de l’épidémie de coronavirus parti de Chine, de ce pays, qui est a à la fois un important fournisseurs et clients des autres pays touchés par l’épidémie, risque de paralyser tous les secteurs industriels dans le monde entier.

Dans ces conditions, chaque pays devra faire face, avec ses moyens propres et le concours des organismes financiers mondiaux, à cette crise, jusqu’au redémarrage des activités, une fois l’épidémie, vaincu, dont nous ignorons la ténacité.

Quand aux investisseurs, ils ont intérêt à faire, dans la mesure du possible, le dos rond, en attendant des jours boursiers meilleurs, ce qui prendra plus ou moins de temps.



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Judex

Judex est un juriste de la vielle école qui a fait sienne la maxime du professeur Léon Mazeaud, son président de thèse de doctorat , "Que le droit ne s’apprend pas mais se comprend "  en ajoutant " à la condition d’avoir, si possible, l’intelligence du droit "

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