Rencontrée en coucher de soleil du bord plage, à ne plus savoir qui rayonnait le plus.
Elle ou le feu à l’horizon ? Mais, très vite tous les deux sont partis d’un ailleurs où ma place n’était pas.
C’était bon, mais fugace.
Peut-être une fois, allez savoir…Il y a eu une autre fois, sur le marché où j’aime bien marcher parfois acheter.
C’est le destin, elle était là, pleine de fraîcheur.
Le rire au pleines dents, il ne peut y avoir de destin.
Elle ne m’a pas vu, ni reconnu.
Et, avec elle, sans doute sa grand mère qui m’a fait rappeler mon âge.
Je l’ai laissé vaquer à son aise avant de me prendre un effet boomerang.
La vie passe, c’est le destin.
Elle n’est plus là, ni ici, ni ailleurs.
Jamais, d’ailleurs, elle n’est restée ; honnête, elle est restée.
D’une diatribe, bonne en l’occurrence, voulant encenser le leader de ce qui aurait pu être une véritable gauche, s’il n’y avait pharaon, une phrase qui ferait aimer le veau d’or : « ce qui menace la démocratie, c’est le bâillon, ce n’est pas le cri.».
rien que pour cela, j’aime les gens de gauche.
Manque pas de culot au-dessus tout là-haut de ce qui ne se passe pas ailleurs.
Dans notre si belle démocratie, il paraissait déjà assez plutôt bizarre qu’un couple prenne un mairie, l’un en qualité maire, l’autre pour premier adjoint.
Ainsi, an cas de défaillance du premier, le second prend la place et les affaires jouées puisqu’ enfermées dans un cocon familial indestructible.
Pourtant, en l’espèce, le premier a été jugé suffisamment coupable pour une mise en dépôt immédiate.
La dame a donc pris la place du monsieur, puisqu’elle avait eu droit au non bénéfice du dépôt étant considéré malade.
Mais, elle n’est pas considéré pour prendre le poste de son époux qui ne demande pas grande faculté.