Réflexions

Écho

Comme un écho d’un précédent, je reçois simultanément un appel téléphonique et un courriel me parlant crypto-monnaie.

Le premier d’un financier pour m’assure de la réelle plus-value à faire sur ce marché qui révolutionne le marché financier prêt à tout raser sur son passage pourvu qu’une rente financée d’une bulle prête à s’éclater avant les fêtes passe par là.

Et, c’est sans parler des arnaques don je vous ai adressées un faire part.

L’autre, justement, pour me rappeler sans concession la petite mort certaine de la première monnaie du genre internationalisée si la finance continue d’y moudre son grain, ce qui ne manque pas de sel.

Enfin, la maire de notre capitale reçoit un sérieux démenti à propos des salaires indûment touchés ; elle avait pourtant dit que ce n’était pas sa faute d’avoir été si bien garnie puisqu’elle aurait demandé à être payée selon ses heures effectuées (soit zéro si l’on comprend tout au dossier), or voilà que le responsable concerné sort de sa coquille pour lui rappelé à son bon souvenir qu’il n’avait jamais reçu telle demande.

Sur qu’elle va lui dire que c’était oralement en tout bien tout honneur.

Vente record d’un tableau d’un grand maître qui n’en profitera jamais vu que l’on ne le voit plus.

Les uns disent que c’est plus moral qu’un grand musée se soit porté acquéreur alors que précédemment il s’agissait de prétentieux voulant faire voir qu’ils en avaient plus que d’autres.

D’autres encore affirment qu’il ‘y a pas de quoi s’offusquer puisque c’est la loi du capitalisme : il y a un marché pour tout et..presque tous.

Je suis d’accord avec tout ces gens mais peut-être pas forcément pour les mêmes raisons.

Et je suis certain que les classes moyennes et celles qui le sont moins voir en-dessous du raisonnable ont autre chose à faire et à penser.

Juste, cependant me dire, combien de temps le dit musée va-t-il avoir un juste retour sur investissement ? Pour se rattraper l’on taillera encore sur les prestations sociales qui deviennent de plus en plus un acte vraiment hors du commun.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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