17,6 % de nos concitoyens vivent sous le seuil de pauvreté.
C’est dire que la moindre augmentation des carburants – la voiture étant indispensable dans les campagnes où on les a cachés – peut enflammer la population directement concernée.
L’illuminé dit les avoir compris.
Lui qui n’a cessé avec l’aide de son larbin, secrétaire général de son palais, de désindustrialiser le pays mettant à la rue ribambelle sans emploi.
Que ne va-t-il pas promettre pour rester en poste si serein ? J’ai beau faire, mais n’arrive pas à penser que certaines idées prônées par les extrêmes me titillent positivement.
Par exemple l’augmentation forte de l’énergie.
Celle-ci permet à l’État de recevoir plus d’argent via les taxes appliquées.
Si vraiment, il voulait faire une action à peu près efficace, il devrait au moins refuser de percevoir ce qui correspond aux dites augmentations.
Mais, il est vrai que cela permet d’amoindrir les dépenses effectuées du fait du « quoiqu’il en coûte » qui était indispensable.
Ce n’est pas un argent de dingue qui a cramé la caisse.
Par ailleurs, il est indispensable, vu ce qui se passe à propos du climat, que nous arrêtions, ou du moins réduisions fortement, notre drogue énergétique ?
Ou alors remplacer cette drogue par une autre moins coûteuse pour la planète qui risque bien de n’être plus notre domicile fixe si nous n’y prenons garde.
Mais, alors, pourquoi ne pas le dire honnêtement et faire le nécessaire pour s’en défaire ? Autre exemple : une commune décide une prime pour ses fonctionnaires qui oseraient ne pas prendre plus de 4 jours d’arrêts de travail dans l’année.
Si l’on comprend bien la volonté, l’on s’extase sur ce que cela voudrait dire.
Les fonctionnaires fainéants de naissance abusent de leur magnifique situation.
Les malades doivent être exclues de la vie sociale.
Et bonjour, pour les anciens dont on repousse la porte d’entrée de la retraite…