Le premier serviteur du chef de l’état ne pouvait pas l’ignore.
Ce qui explique sa position ferme et le renvoi dans les gencives de ceux qui ne pense pas comme lui d’études spécieuses.
Selon lui, la petite plante verte aurait tout de la plante tueuse.
Selon les autres, s’il acceptait de (res)sortir de sa bulle soufflée n’est pas jouer, il constaterait qu’en dehors des frontières de son chef lieu, tout le monde en dit le contraire.
Même en Outre Atlantique, le clown triste n’a pas oser faire faire marche arrière à ces états qui l’ont légalisée sans être traiter de félon.
Mais, il est vrai que cet artiste qui veut mourir sur les planches pourries de son autoritarisme, n’aime que l’argent qui l’a fait roi.
Et comme la plante honnie dans nos contrées en fait gagner beaucoup sans apporter les ravages annoncés, il est béat le brave homme.
Ainsi, la petite bête qui monte qui monte, gratte notre premier de gouvernement avec une loi qui sera déposée par quelques-uns de ses partisans.
On l’on voit que l’on n’est jamais mieux trahi que par ses amis : garde-moi de mon entourage, je me charge de mes ennemis dit le combattant avec rage.
Oh, il est à peu prés certain que cette proposition ne sera pas acceptée mais ça bouge, ça bouge dans les hauts quartiers.
Et chacun sait qu’à un moment ou un autre, le capitalisme ne peut refuser un marché qui s’ouvre à lui ; juste le temps de s’organiser pour en prendre les commandes via internet, un réseau de boutiques, etc.
La loi sur la mobilité ne cesse de faire des allers et retours entre les deux chambres qui en redemandent.
A bout de souffle au cours de ce marathon qui ne dit pas son nom, nous aurons la joie entre autres de constater que le forfait mobilité n’est pas obligatoire ce qui obligera la majorité des entrepreneurs à passer outre.
Et que l’usage de la trottinette fait partie des élus comme moyen de transport.
Qui a dit déjà que le gouvernement faisait tout pour éviter les accidents de parcours ?