Les temps vont être durs, très durs. Ce n’est plus le moment de se déchirer, mais celui de s’unir.
Oui, mais voilà, avec qui et sur quelles bases devrions-nous agir ? Les observateurs désignés à la Cee annonce un recul net de notre Pib de 10 % pour 2021.
La ministre actuelle du travail déclare que dans certaines situations le chômage partiel va perdurer 1 à 2 ans encore.
C’est-à-dire que les personnes concernées vont vivre pendant ce temps avec au mieux 14 % de moins sur le salaire qui sera déjà défalqué des pourboires pour certains, des primes mêmes récurrentes pour d’autres pouvant comprendre les certains et autant de moins sur leur prochaine indemnité quand sera venu le temps de leur retraite.
Et que dire pour ceux qui se retrouveront directement au chômage réel forcé venant en concurrence de ceux qui y sont déjà installés ? Peut-on véritablement continuer ainsi à voir augmenter le lot de la précarité s’installant partout de plus en plus ? Pourtant, certains économistes, et non des moindres, et no de ceux qualifiés comme de gauche de la gauche, mais bien des libéraux, parfois extra-durs qui commencent à crier à ce loup qu’il ne faut surtout pas réadapter dans nos cités et campagnes.
Si les hommes de pouvoir, de capital, ferment trop leur yeux déjà atteint à cause de porter trop longtemps des visières à tuer un cheval, le risque sera grand d’une véritable douleur qui les réveillera en sursaut d’un désespoir d’un peuple qui ne veut pas retourner sans culotte mais plutôt vêtir des gilets jaunes que quelques capitalistes en herbe seraient avisés de produire en nombre pour satisfaire le flot qui risque de s’écouler.
Chacun aura cependant le temps des vacances pour se refaire la cerise comme l’on dit au pays.
Mais dans les 2 ou 3 mois qui suivent à partir de ce jour, il y a fort à parier que l’hiver suivant l’automne battra des records jamais connus de chaleur ardente.