Ça va fort…
Les entreprises dont une de marque lion, à la crinière vol au vent, et l’autre à la mode, s’exercent sans plus attendre aux nouvelles possibilités de virer sereinement les salariés qui ont donné mais ne satisfont plus.
Dans le premier cas, l’accord collectif a été validé par la majorité des syndicats ; la raison principale étant qu’il est fait appel au volontariat pour se faire virer.
Mais, il est vrai qu’en contre-partie, des embauches sont prévues dans de nouveaux postes plus adaptés.
Pourquoi pas ? Pourtant une question se pose : que vont faire les salariés partis ? Bénéficier des allocations chômage avec une franchise de 6 mois selon les indemnités reçues, demander à Pôle emploi une formation pour les recaser.
Avant, c’était le patron qui payait pour l’adaptation de ses salariés.
Déjà, la dite formation ne se faisait plus sur le temps de travail.
Désormais, un bon accord et basta toutes ces sornettes.
Dans le cas de la mode, c’est plus simple, l’accord a été refusé purement et simplement, sans doute était-il vraiment mauvais pour tout le monde sauf le patron… Oui, je sais, vous savez, nous savons (pas forcément propre) que l’égalité n’existe pas.
Alors inutile de rechercher ce qui pourrait accroître encore plus les inégalités.
Qui croyait le parti de cette gauche déclinante en déclin ?
Sur ces cendres encore chaudes, après avoir été anéantie par ses occupants, la bataille fait rage entre les nombreux prétendants se bousculant après la reculade de l’ancienne ministre qui aurait pu être reine mère dans ce cénacle.
A croire que la place est chaude pour qu’autant de monde se presse non pas à son chevet mais pour se planquer doucement dans la couette .
Et puis, avec toutes les invitations à prévoir, tous ces petits fours à déguster, ce n’est pas négligeable en ces temps de disette puisque sexuellement il faudra bien retenir ses ardeurs juvéniles d’homme trop puissant à moins d’avoir pensé à embaucher une de ces 900 signataires qui en redemandent encore et toujours plus…