Belles idées
Enfin, le gouvernement marche sur ses deux jambes afin de laisser la tête porter réflexion.
Malheureusement, la Covid est passée, la guerre est arrivée, l’inflation retrouve son chemin.
Et personne n’est allé voir ailleurs d’autant qu’il faut prévoir l’augmentation du changement climatique, dans le mauvais sens, et l’obligation de voir autrement les possibilités de nouvelles guerres massacrantes (oui, je sais, c’est un pléonasme).
Alors, courageusement, il prend le taureau par les cornes à faire rougir un basque ou catalan.
Sans aucun détour, il va détricoter ce qu’il avait fait semblant d’assembler.
Mais, toujours va—il frapper plus fort les faibles en, par exemple, réduisant encore la durée de période du chômage tandis que la fameuse maison du travail remplaçant feu pôle emploi, se verra réduire ses financements pourtant destinés à aider plus efficacement les chômeurs à retrouver un vrai emploi pérenne.
Peut-être en fera-t-il autant pour ne plus aligner les pensions sur l’inflation voire les réduire efficacement.
Peut-être va-t-il ajouter quelques mois supplémentaires pour les droits à la retraite.
Peut-être…mais laissons-le imaginer ce que vous n’auriez pu faire pauvre étudiant dans les mauvaises classes des mauvaises écoles.
Vous verrez même appauvris les pauvres continueront à vivre pour survivre tant leur résilience est grande et même les vrais riches à milliards continueront à vivre pour capitaliser sans retour leur fortune établie.
Et, pour ces premiers de classe qui se vantent d’être dans la botte de leur promotion, toujours les mêmes idées dans la tête, toujours les mêmes principes : faire payer un peu la plus grande masse qui sera fière d’être traitée à la même enseigne que les autres.
Toutefois, comme toute courbe de vie pourtant étudiée dans ces grandes écoles, après la vache à lait arrive l’expiration du cycle, voire sa disparition si aucune relance n’est faite à temps.
Est-ce le bon tempo pour les actuels au pouvoir ?