Il n’y a pas de fumée sans feu. Pourtant dans cette centrale nucléaire déjà tant décrié, un jet de vapeur à faire pâlir nos anciennes locomotives s’échappe.
Certes, pour le moment il ne s’agit que du niveau 1, mais l’on aimerait bien ne pas atteindre le 7 qui ne portera aucune chance aux riverains lointains.
Il y a de quoi s’inquiéter puisque l’instance de contrôle a déjà épinglé l’entreprise France pour le peu de cas qu’elle fait des alertes perceptibles de tout le monde.
Et voilà que le régime d’avant continue.
500 intérimaires remerciés par cet automobiliste constructeur qui préfère donner du travail à des ressortissants européens.
Le prendre en circuit court ne s’applique pas à l’industrie semble-t-il.
Le chiffre de 18 000€/an de revenu après impôts, pour les aides véhiculaires étatiques, est intéressant car il exclu sobrement ceux qualifiés de riches ressortis dans une étude bien à propos.
Mais, lorsque l’on se rappelle ce que 18 000 veut dire, l’on peut raisonnablement se demander la somme économisée sur 1 500€ après avoir dépensé l’indispensable dans le cadre de son mois à faire.
Et voil que l’on dit à ces personnes de forcer leur porte-monnaie pour s’offrir un véhicule resté en stock chez leurs amis fournisseur d’automobiles dont les prix ne baissent même pas.
Il n’y a plus aucun effort de la part de ces gens là puisque l’état le fait pour eux sur une certaine cible.
Alors pour mieux faire mordre à l’appât, c’est la location qui est de mise ; déjà que beaucoup ont du mal à payer le loyer de leur toit… Les commentateurs exagèrent toujours, peut-être par excès de recherche d’audience pour être mieux payé ou choper la prochaine promotion à venir (!).
Mais tout de même, tantôt ils emploient l’argument des pourcentages pour minimiser un événement, tantôt ils le récusent pour alourdir leur sanction vis à vis de leur cible.
Deux poids, deux mesures, c’est toujours bons pour les tunnels de pub toujours à la recherche d’atteindre leur panel.