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Une question en amène une autre

Une question en une autre comme cela sans en avoir l’air. Il est dit, écrit, que les aides gouvernementales avaient été surtout pour faire supporter la crise aux salariés concernés.

Outre la crainte de soulèvement populaire, une des raisons dont je ne peux pas croire qu’elle soit en fait la réelle et l’autre un avantage collatéral, ces aides permettaient aux entreprises employeurs de conserver leur personnel sans en payer le coût.

Car, si elles avaient été obligées de licencier, il aurait alors fallu payer les indemnités de licenciement en conséquence.

Par ailleurs, ainsi licencié, le salarié aurait eu le bénéfice du chômage… Et de quel montant est ce chômage « normal » ? La décence voudrait que l’on évite de prévoir désormais licencier ! Mais 1 patron sur cinq déclare devoir licencier ce qui risque de mettre à carreau 4 nouveaux millions de chômeurs.

Déjà que les 4 premiers ne trouvaient rien à se mette sous la dent sauf accentuer une précarité naissante, la vie est belle pour toutes et tous ! Je ne sais pas si j’ai la berlue, mais c’est sur les petites plages où l’on permet le bronzage allongé, mais après réservation de sa petite place bien soi, mais gratuite.

Alors que sur les grandes plages Nord-Ouest, seule la station debout est acceptée ??? Il paraît que le Loto à distance, cela fait un carton… C’est la grande folie des messages contradictoires.

L’un commandant des forces de l’ordre disait en radio national que les seules mesures à prendre et qu’il doit faire respecter (?) sont le port du masque et des gants ??? Je ne sais pas s’il a lu une note de service ou s’il parlait en privé.

Mais, cela la fiche mal puisque la vraie obligation est la distanciation spatiale.

Mais, si l’on est dans un espace confiné avec d’autres ou si cette distance ne peut être tenue, alors le masque est de rigueur.

Je comprends mieux pourquoi, le maire de Strasbourg a pondu un décret que Dame cigogne est chargée de promulguer : Dans sa ville, le masque est obligatoire comme à Venise en temps de carnaval.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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