Vous l’avez entendu
Un ancien président parti parce qu’il n’avait pas tenu parole sur une promesse d’une certaine inversion de courbe, clame sur tous les fronts qu’il a bien agi et que l’actuel sera bien heureux d’en profiter. Déjà qu’il était béa…
Ces déjà licenciés depuis bien longtemps du fait d’un patron reconnu depuis, par la justice, escroc au moins local, les ouvriers concernés sont accusés d’avoir touché des indemnités hors norme.
En conséquence, un jury fier de son état, les condamne à rembourser immédiatement jusqu’à 20 000€ pour les plus heureux ; et tant pis si certains d’entre-eux n’ont toujours pas retrouvé de travail.
Ce qui est bien étonnant à 50 ans passés et surtout vu l’action du précédent fier de lui en matière.
Mais, ce type-là est gauche, heureusement qu’il n’était pas à droit(e).
J’aime mieux voir cet homme pleurer devant son passé d’un vieux fusil dont il est retourné voir le décor où toute une équipe avait vécu 3 mois durant pour produire un film d’anthologie d’autant plus que le feu provoqué s’est élargi et qu’il a fallu attendre que la séquence soit tournée avant de penser à l’extension des feux.
Mais le plus intéressant, voire émouvant, c’est la rencontre d’un ancien figurant du village d’à côté discutant avec l’ingénieur en question de pied égal, ce qui ne devait surement pas être le cas précédemment.
Décidemment, c’est séquence souvenir comme un puits sans fond juste crée pour le besoin d’un immédiatement, mais resté jusqu’alors pour se commémorer cette gloire dont personne ne se souvient.
Mais, que dire de cet homme si riche de son talent et de son état parti lui tout seul comme toujours, écartant les faveurs mais aimant bien les recevoir au compte-gouttes.
Bien sûr, il n’y a qu’à écouter ceux qui se rappellent d’un homme bon, certainement qu’il ne pouvait que l’être de son vivant après sa mort…