Une certaine idée de la France pour demain

Une phrase qu’elle est belle à n’avoir guère de sens : « les dirigeants de demain doivent ressembler à la France ».

Il faut au moins avoir fait des études supérieures pour sortir à la chaîne de tels mots.

Mais quand c’est la cheffe qui le dit ça n’est plus excusable.

Une seule réponse : qu’est-ce aujourd’hui, et accessoirement hier, la France pour Demain ? Mais il faut à la réalité dire que si l’article concerné est lu en son entier, la compréhension en est largement facilité puisqu’il y est question de faire admettre tous les genres de la population française dans les hautes études.

Comme quoi les titres racoleurs sont une mauvaise image de la réalité même synthétisée.

Grève suspendue, cela veut dire qu’il en est de même pour les salaires.

Sans doute beaucoup de bien pour les grévistes et leur famille avant la reprise.

Mais, de toute façon, l’illuminé veut passer en force et le fera avec les textes qui le lui permettront.

Puisque ces têtes de cordée ne comprennent rien à rien, voilà que les hauts magistrats de la cour des comptes s’en mêlent.

Ils ont osé dénoncé la création visible d’une trappe de pauvreté dont le gouvernement actuel est conscient et ne fait rien pour la faire disparaître.

Au contraire, ces cadors préconisent le recul de la retraite en sachant très bien que, d’une part, les entreprises font tout ce qu’elles peuvent pour virer leurs vieux de plus de 51 ans d’âge canon pour faire baisser leurs charges salariales et augmenter leurs bénéfices à distribuer entre gens biens et consentants, et, d’autre part, que plus de la moitié de cette population atteinte de cette maladie grave qu’est un licenciement avec perte sans fracas pour les patrons, ne retrouveront plus de travail.

Ils peuvent toujours aller voir de l’autre côté ce qu’il se passe.

Mais, attention, en traversant, un accident est si vite arrivé et il s’agira d’un accident de non travail pénalisé par la Sécurité Sociale.

Vous êtes prévenus : « risque de précarité pour les seniors exclus du marché du travail » et « coût croissant pour la solidarité ».

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