Je voulais juste vous dire que j’étais ravis d’être accepté dans un groupe sans censure puisque le précédent m’avait viré sans perte et fracas, ni explication ce qui facilite le dialogue démocratique.
Mais, alors pourquoi est-ce que mes publications sont désormais en attente de validation par le cher administration qui se prend peut-être pour un roitelet de la toile ? Où l’on voit bien que le poids des mots se heurte souvent à celui du regard d’une photo…
A propos, même si je n’en publie car je ne pratique pas, par goût cette technique photographique,si vous pouviez m’expliquer pourquoi ce grand, par le nombre de ses utilisateurs car pour le reste…, réseau social prend t-il toujours autant de plaisir à censurer ce sein qu’il ne veulent pas voir mais se délectent semble-t-il de ces scène abjects, ces appels au(x) crime(s) de toutes sortes avec complaisance.
Certes, ils viennent d’Outre Atlantique, mais tout de même il n’y a pas que la pudibonderie dans la vie.
Ceci dit, tout de même, vous postez une photo, puisque c’est là mon choix sur la toile faceBook, dans un groupe qui l’a acceptée – ouf je respire – et voyez un commentaire.
« C’est ou ? » ; il suffit pourtant de cliquer sur l’image pour le savoir.
Mais dans ce monde express, le temps est comme le mouvement compté ! Ceci dit, l’auteur de ces œuvres doit être profondément narcissique pour continuer à poster sans retour d’un meilleur possible ; du moins pas de cette manière.
Bon bien passons et sachez, sans transition sauf l’incohérence des comportements, que la réforme des retraites se fera, dixit son ministre qui a la santé ( et la Covid) et ce quoiqu’il en coûte et il en coûtera.
Cette menace fera-t-elle peur à ceux qui seront le plus menacés ? La suite le confirmera…