IdéesRéflexions

Sans doute

Direction Bretagne où, comme chacun le sait ou l’apprendra, il fait bien beau plusieurs fois par jour.

Bizarre de voir les noms de pays et rues en langue d’ailleurs sans avoir à fournir de passeport ou autre.

Certainement un des avantages de l’Union Européenne…

Entendre au détour d’une balade sans raccourci, le son d’une cornemuse rappelle qu’il n’y a pas qu’en Île d’Outre Manche – courte tellement il fait chaud – que l’on chante celtique.

Mais pourquoi donc, tout d’un coup, le lendemain même d’un certain mois d’août, les stores se ferment sur les vitrines ou s’ouvrent à d’autres heures que le besoin ; il faut se plier à celui des vendeurs commerçants.

Vu sur Google, la présence d’un boucher-charcutier vantant ses belles volailles fermières à deux pas de notre logis pas rural.

In situ, rien de vu de cela, nous devrons aller plus loin en voiturage faire notre plein de provision.

Sympa le marché à encore touristes pas tristes de dépenser le double de ce qu’il ferait en lieux communs.

Sans doute que sous la foi du bio à tous les étals, l’on se sent serrés par des prix qui ne le sont pas.

Et dire qu’au boulanger du coin, le croissant est à 1€ ; sans doute pour éviter la fatigue de la monnaie.

Avant d’arriver, nous sommes tombés sur une halte gourmande du moins de nom et nous avons compris la frontière entre la Bretagne et la région qui voudrait annexer le Mont St Michel : la qualité » des crêpes.

Et, pas de bobard, nous l’avons, aussitôt arrivé, constater au bout de la presqu’île d’une mer partie ailleurs, sans doute dans les bagages d’un représentant de commerce.

Il y avait eu aussi un dimanche, après l’arrivée de la veille.

Citadin comme nous le sommes, nous avons erré jusqu’à la grande ville du coin voisin.

Mais point de commerce ouvert, les grandes surfaces ne sont plus en période estivale, ceux de proximité, hors boulange et cafés-restaurants l’ont adoptée.

Tant pis nous repasserons après nous être une nouvelle fois épongés dans notre bourg touristiques qu’elle est belle ma région, pour pouvoir dîner sereinement en duo sans avoir à (re)passer au resto ; allez à bientôt.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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