C’est comme pour le virus, on en parle beaucoup avant de savoir. Mais le principal semble en être pour se positionner.
Il en est ainsi de cet animateur si zélé pour l’extrême droite.
Il est écouté par les caciques de cette tendance et considéré, peut-être comme dangereux pour les autres, car il est le seul à théoriser cette haine de l’autre.
Alors tout les médias de se pencher sur son cas pour savoir s’il ira ou pas à la nationale.
Toutes les hypothèses sont bonnes même celle à clamer une primaire dans cette mouvance.
Mais lui aussi a ses propres variants de savoir, par exemple, s’il pourrait vraiment faire de l’ombre à la cheffe qui aime les chats et les jeunes bobos, parricide de son état et incapable de compter sur ses doigts.
Vivement un vrai vaccin pour calmer tout cela.
En attendant, la droite s’écoule en deux fleuves pas tranquille incapable de trouver un océan commun.
La gauche fait de même avec une extra dont le chef auto-proclamé se perd dans des discours dont lui-même ne comprend plus rien tant il a perdu le sens des mots et leur alignement dans une phrase..
Mais, l’on aura beau dire.
Il aurait eu entièrement raison s’il avait affirmé sans détour qu’à chaque fois qu’un acte criminel se déclenchait proche des élections, il se trouvait toujours des politiques de droite, voire du centre pour en profiter lancer leur chansonnette sans aucun pitié pour les victimes et les familles de celles-ci.
Mais, voilà, l’âge aidant sans doute, il s’est mélangé les pinceaux dans le seau de gadoue dans lequel il a voulu jouer.
Certain(e)s font mine de constater que la pandémie a créer encore plus d’inégalité vis à vis des femmes par rapport aux hommes.
Or, il avait été déjà constaté que les plus faibles l’étaient encore plus ; or dans les plus faibles il y a toujours une majorité trop forte…