Retour…
Les bonnes habitudes reprennent enfin.
L’on avait fini par nous faire croire d’une communication renforcée que rien ne serait comme avant.
Ouf, l’on respire, dans une belle démocratie, l’on ne tient pas longtemps les brais informations indispensables à notre survie humanitaire.
Pensez donc, revient en force l’idée pressante d’un krach financier à la puissance 10 que l’on va voir ce qui n’a jamais encore été vu d’autant plus que l’Europe menacerait de s’écrouler grâce à la botte de génie de nos transalpins qui n’ont pas mieux à faire que de faire revenir aux affaires politiques un vieux qui avait été écarté par trop de malversations.
Ma tante me disait bien d’un œil trop gourmand que c’est dans les vieux pots que l’on fait la bonne soupe avec une carotte nouvelle ; moi, n’y comprenant rien, lorgnais plutôt sur la cousine pas si farouche que cela et même volontaire pour une sortie d’enfance en explosion de joie.
Mais une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, voyez comme en Outre Atlantique l’on se tire allègrement dessus comme en France on se tire la bourre avec une bonne taffe.
Plusieurs morts d’un coup, et leur président de s’extasier devant le comportement anormal de l’individu, mais pas question de remettre en cause ce droit quasi divin, en tout cas constitutionnel, de posséder une arme pas blanche de le faire savoir.
Et celui qui avait été jugé trop payé et qu’il le restera encore malgré les injonctions impuissantes d’un qui croit maintenir l’économie française, demeurera encore trop payé même si la composition de ses émoluments prennent un autre tour.
Je serai toujours sidéré de constater qu’à ce niveau, les avantages en nature soient de 5 520€/an seulement… Mais, il est vrai que l’habitude a été prise pour ces pauvres patrons méritants de toucher environ, à l’euro à peu près évalué, 93,4 fois plus que le revenu moyen touché par ses salariés.
L’on ne vous parle pas du différentiel avec celui qui est dans les fins fonds du classement de la base d’une échelle hiérarchique que seul un bon gros capitaliste débridé sait défendre et encourager.