Avant-hier, nous avions eu les ayatollahs de religion du sol qui voulait nous interdire la viande le vendredi car il était saint pour eux.
Puis, nous avions eux les ayatollahs d’une religion voisine qui voulaient que lorsque l’on voulait manger avec eux, il fallait que la viande soit saignée.
Mais, comme ils vivent sereinement dans leur communauté, si on y était pas l’on était pas concerné.
Puis il y a eu les ayatollahs insistants de nous dire notre erreur de manger du porc.
Ils voulaient même qu’elle soit supprimée des assiettes de nos cantines scolaires.
Désormais nous avons les ayatollahs d’origine verte qui veulent nous dire quoi manger et quand.
Inutile qu’ils prennent le temps du dialogue puisque les choses sont déjà dites.
Ils partent du principe qu’il faut se mettre au vert alors que notre conseil sécuritaire nous affirmait « un vert, ok, deux verts ça va, trois verts bonjour les dégâts » ou quelque chose d’approchant.
Soi-disant que la planète ne peut plus supporter notre consommation indigène.
Mais pourtant il y a deux approches en alternative.
Un peu comme voir la bouteille à moitié vide alors qu’elle est aussi bien à moitié pleine.
Mais l’on a les opinions que l’on mérite.
Soit il n’y a pas assez de ressources pour tout le monde, soit il y a trop de monde pour les ressources à se goinfrer.
Donc, soit l’on regarde seulement la consommation, comme le font les verts politiques sans demander avis au-delà de leur cercle communautaire.
Est-il véritablement interdit de regarder de l’autre côté de leurs lunettes et s’intéresser à l’enfantement ? Vous me dires peut-être que, à défaut de débattre, il faudra peut-être sous-consommer et limiter le nombre d’enfants par ménage.
L’on sait bien qu’un régime totalitaire avait imposé cette limite de naissance.
Mais, désormais, il revient en arrière pour pouvoir produire sa consommation…