70 % du capital en Euros sont détenus par les plus de 65 ans. Et, il y en a qui ose dire qu’ils sont à la disette ? Pourtant, leur valeur ne semble pas avoir baissée malgré une perte de pouvoir d’achat de 15 % sur 28 %.
Et malgré tout, les retraités ont toujours plus que les salariés obligés de trimer.
Attention, l’on risque fort de s’en prendre aux femmes qui ont en plus l’extrême avantage de vivre 5 ans de plus que leur bonhomme décédé ; ce qui peut expliquer la captation.
Et si nos gens bien qui ont le pouvoir arrêtaient les moyennes pour mieux voir les réalités en face ? Style, presque tous les retraités sortent du monde actif avec une grosse perte de pouvoir d’achat et que s’ils continuent à avoir plus c’est que depuis des décennies la valeur travail s’est dégradée par des patrons et actionnaires toujours plus enrichis ce qui explique les inégalités toujours plus grandes.
Dans le nouveau feuilleton de l’été qui a remplacé celui de l’année passé au rencart des oubliettes, l’écologiste encore en exercice malgré les déchets qui semblent lui coller à la peau, il y a certains de ses invités bons copains qui s’osent dire que dans les festivités organisées il n’y avait vraiment rien de terrible dans les assiettes qui n’étaient pas si mondaines que vantées.
Il n’y a que la obligés de la restaurant grasse de la bouffe rapide qui peuvent charrier autant de rancœur devant un dîner sympa entre amis de bonne fraternité.
Au contraire, de voir ces bonnes que l’on qualifie par ailleurs de Csp+++, accepter de par leur bénévolat faire bonne fortune de la gastronomie française devrait permettre qu’il leur soit décerné la légion d’honneur.
A coup sur, il faut être inintelligent pour de ne pas voir dans ces agapes d’un âge présent, la volonté de complaire à l’illuminé en s’efforçant de ruisseler sur le savoir-faire cocorico.
