Faut-il rappeler que le taux de recouvrement de ces dernières est de 99%, ce qui laisserait espérer un gain spontané de 1 milliard 300 millions dans les caisses de l’état au fil de l’appel des demandes étatiques.
Alors le gaulois en chef de non bataille de Roncevaux, chiche ou pas ?
A propos de réforme(s) ou de bilan provisoire gouvernemental, il est intéressant de constater que les moins riches, c’est-à-dire 90% de la population française, ne peuvent plus consacrer autant de budget pour se rendre propriétaire alors que les autres, ceux qui sont plus riches sans l’être encore plus que les derniers, voient leur enveloppe gonfler de 3%, soit plus que l’inflation.
C’est le ruissellement promis qui s’arrête aux bonnes portes.
Et pour ceux qui penseraient que les dires dans cette expression de nouvelles quasi journalières, seraient tendancieuses de discrédit gouvernemental lisent le dernier opuscule de l’Ofce (l’Observatoire qui a changé de nom mais continue à dire) qui confirme que les mesures budgétaires de 2018 profitent ou profiteront aux plus aisés : 42% des gains obtenus sur le dos des masses populaires et travailleuses quoiqu’en disent certains qui n’ont jamais mouillé leur chemise, seront répartis sur les 5% les plus riches de France.
C’est beau de marcher à côté de ses pompes.
Mais l’illuminé de tous décide de ne rien voir, faire comme si cela va pour tous, quoique cela va pour lui et ses amis, et a bien l’intention de continuer la poursuite du redressement du capital France pour redistribuer équitablement les bénéfices à ses véritables actionnaires ; et une concurrence supplémentaire pour nos belles entreprises du Cac40.