Et ne vous plaignez pas car il s’agit du plafond du régime social général, d’autres touchent nettement moins.
En effet, pour atteindre cette rente, ce qui gêne le gouvernement en place, il faut correspondre à des critères bien précis.
Non pas de genre, car cette base plafonnée n’est pas genrée, mais à des critères tels que l’âge de départ à la retraite, le nombre de semestres acquis et votre moyenne salariale sur vos 25 meilleures années.
En gros, comptez sur 50 % de cette moyenne limité au plafond de 1 833€ mensuels.
Pour mémoire, rappelez-vous que le seuil de pauvreté est à 1 158€, tandis que le Smic s’envole à 1 766,92€.
Bien sûr, toutes ces sommes sont brutes, histoire de tenter parler de la même chose.
Si beaucoup ont de la peine à atteindre ce plafond sans espérer plus, d’autres bénéficient d’une retraite complémentaire qui fait mettre plus que du beurre en baratte dans les épinards.
Cette dernière dépend essentiellement du nombre de points acquis sur votre parcours professionnel.
L’un des grands fournisseurs de musique et airs à tout va fait le grand ménage.
S’attendant à être submerger par les nouveaux en Ia, il vide ses contenus des musiques qui n’en avaient pas l’air.
C’est un traitement inhumain qui nous attend.
Ainsi apprend-t-on que ce grand ex patron d’indépendants distributeurs est un grand consommateur d’art.
Et, ce n’est pas cochon.
Fort de sa vitalité en qualité de communicant fortement payé, notamment sur les grands plateaux télévisés, il se fait mécène de lui-même pour subventionner sa maison d’édition non rentable malgré quelques auteurs connus.
Et, comme toujours, l’intéressé désintéressé n’agit pas ainsi pour obtenir une quelconque réduction d’impôts.
Ce serait blesser ce breton si prolixe de sa réussite.
