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Post-décès (bis)

Dans le premier post, vous avez eu droit à un début des ennuis dans l’avenir d’un décès passé.

Le côté mercantile prenant le pas sur la considération de l’événement.

Espérons simplement que la succession se passera sans heurt et éclat.

Il semble que l’on se dirige vers un renoncement de l’un des héritiers pour l’autre.

En effet, toute situation considérée, l’autre est nettement plus dans le besoin que l’un.

Ce sera mauvaise conscience que de demander à l’autre de quitter le toit auquel il est habitué depuis presque une décennie.

Et le solde du compte bancaire lui permettra de mettre un peu de beurre dans ses petits plats.

Il le fera petit à petit puisque sensible à un cholestérol qui n’attend que peu de chose pour se déclarer méchamment.

Mais, il semblerait que ce renoncement n’aura pas les effets immédiats désirés.

En effet, la  loi familiale privilégiant la verticalité, les droits liés au désistement irait tout droit aux nom et profit de son enfant.

Il faudra donc que ce dernier accepte de donner son accord devant le tribunal.

C’est complexe mais a priori officiel.

L’un de mes amis avocats me dit que nenni.

Attendons l’avis du notaire s’il veut bien prendre langue avec nous mêmes.

Mais si ces démarches semblent malheureusement nécessaires, d’autres pourraient se faire autrement, voire pas du tout.

En effet, depuis, que l’événement a eu lieu, ces sont les foudres des lois du marketing aveugle qui nous tombent dessus.

Pas un seul instant sans recevoir plusieurs courriels intempestifs.

Les uns nous rappellent qu’il faut prévoir notre avenir afin de sécuriser la fin de parcours et, partant, celui des descendants.

Les autres pour nous obliger à donner volontairement notre avis sur la prestation, etc.

Comme les rois du market ont décidé que les funérailles sont u commerce comme les autres, ils ont décidé de faire profiter leurs connaissances de leur savoir.

Mais, celui-ci doit aller au client final qui ne peut plus être le défunt.

Alors les actions sont portées sans vergogne contre ceux qui ont signé l’accord d’inhumation…

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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