Plus haut en marches !

France Argentine, il y en avait qui voulait s’en prendre à la tête des bleus.

Les joueurs déjà consacrés dans les meilleurs clubs européens n’y pouvaient rien si on les mettaient là où ils ne devaient pas être.

Et puis, pensez ils sont jeunes, bien plus jeunes que la moyenne d=installée en coupe.Mais, ce meneur d’hommes n’est pas Louis XVI, c’est un rustre, un dur au mal qui ose dire qu’il faut savoir y aller, non pas seul, mais tous à plusieurs y compris pour la réserve dont il a besoin si se premières lignes échouaient.

L’équipe, puisque c’est d’un groupe dont il s’agit, a gagné, le mauvais presque dehors n’a pas été fauché.

Elle a persisté en faisant pschitt d’un des plus grands de la planète foot chargée.

Mais, une autre petite a décidé de faire encore plus grand en s’attaquant au monstre.

Non, ils ne pouvaient, mais si ils ont pu.

Ce sera donc, d’un côté, camembert-cidre, de l’autre l’éternelle bière-frites qui nous a déjà de loin bien envahi et profité de nos frontières spongieuses décriées par un producteur comédien talentueux.

Vous allez voir ce que vous allez voir, mais dans la bonne humeur et le ballon rond s’en est allé dans les filets adverses.

Remarquez, il aurait pu faire marche contraire, mais le plus ancien capitaine de surcroît en avait décidé autrement.

Tellement détendu qu’il était.

Heureusement car si ses comparses attaquants s’en allaient fièrement la balle au pied, à la barbe et au nez de leurs adversaire, ils échouaient d’un mauvais geste mal placé.

Heureusement qu’un autre bleu, contesté en son temps lui aussi a signifié la délivrance par un coup de tête hissé plus haut que les autres présents.

C’est la victoire, la finale est là, la coupe à portée de pieds.

Il ne reste plus qu’à connaître ceux qui auront le courage de venir défier cette équipe couverte désormais de tous les oripeaux de la gagne.

Pour qui sera la retraite de Russie ?

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