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Planté peut-être

La Covid19 avait déjà détruit des vies, totalement en laissant des familles dans la souffrance.

Partiellement, les victimes risquent de l’être pour une très longue durée voire à vie pour certaines.

En dommage collatéral, les français, et les autres aussi, ont vécu l’obligation du confinement puis une fois sortis, le port masqué obligatoire sans oublier, que c’est difficile, les gestes barrière – pour rappel : 1 mètre de distance vis à vis de l’autre qui devrait éviter les étreintes familiales, le lavage des mains autant que possible pour ne pas recevoir, ni refiler la méchanceté peut-être ancrée en vous.

Mais ce n’en est pas fini puisque, bien souvent parallèlement, des entreprises, des artisans se meurent.

Puis c’est le nombre de travailleurs jeté à la rue qui fait peur.

Mais les familles trinquent une fois de plus.

Déjà qu’il voyait, de temps en temps, souvent, le père ou la mère, parfois les deux, se désespérer de se voir au chômage, il constate que lui sorti de ces études doit affronter la vraie vie d’adulte.

Et, malheureusement, il se trouve sur le carreau avec ses camarades dans le même lot.

Ce qui ne consolera guère personne.

Hier, l’on pouvait bien se moquer de ces gens qui allaient penser à acheter leurs chaussettes, ou autres utilités, à 3 heures du matin sur Internet.

C’était la grande rigolade de mise dans les beaux salons.

Pourtant, de l’autre côté du miroir, le commerçant en est ravi de cette situation… L’une que j’aime bien, et que j’ais déjà mis en lumière dans des chroniques précédentes, vient d’être interviewée.

C’est paru dans un grand hebdomadaire public, sur papier et internet.

Elle répond sur la problématique de la nécessité de l’utilité de la consommation de la plante verte, trop souvent dérivée en plusieurs matières parfois très mauvaise, pour atténuer son mal que la médecine régulière, c’est-à-dire légale, n’atteint pas.

Depuis, elle tremble sur ses bases d’une peur presque panique d’une de police.

Pour éviter tout ce cirque, pourquoi ne pas légaliser ce qui fait du bien ?

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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