Pire que la guerre

Comme sur les plusieurs armées et chef de leur état entre deux frontières qui n’étaient déjà pas vraiment étanches, les journalistes trouvent qu’il n’y a pas grand-chose à dire.

Aussi, ont-ils pensé trouver leur scoop lors de l’entretien interminable de celui qui vient du grand froid et l’autre semblant plus modéré.

En effet, la comparaison de deux photos du premier, qui ne veut pas être le dernier, laisse entrevoir un changement visible du physique.

Certains auront pu simplement penser à une prise d’embonpoint d’un manque de sport avec une prise d’âge le ramenant à n’importe lequel des communs.

Mais, non, les journalistes ont trouvé de quoi alimenter leurs nouvelles.

Et si l’individu était atteint d’une maladie maligne.

Peut-être honteuse à déclarer ce qui expliquerait la distance entre les deux, pas seulement imposée par la table d’un ovale inhabituel ?

Un grand de l’énergie décide de verser une partie de ses bénéfices créé le holà dans l’opposition.

Celle-ci qui, en attendant ne fait rien dans ses villes où elle est si ce n’est certains verts en supprimant les sapins, foie gras, la possibilité de circulation des vieux, pourrait au moins reconnaître le geste tout en demandant plus notamment une vraie politique écologique.

Cette dernière est trop sérieuse pour la laisser guider par des verts dont on a l’impression qu’ils ont trop bu.

Trop fort, les anglo-saxons d’un concours des meilleurs artistes féminins et masculins décident de ne plus accorder leur prix qu’à un non genre.

Ce sans l’avis de beaucoup d’artistes dont celle qui a remporté la première place trop fière d’être féminine jusqu’au bout de ses ongles.

Faut-il donc que la minorité impose toujours sa loi ? Vous savez quoi ?

Si la encore cheffe de l’extrême droite, parricide mais acceptant le rapprochement, aimant les chats et les jeunes beaux bobos, voulait écarter sa lubie sur la migration, elle aurait tout d’une femme de gauche à faire rougir celles se disant en être…

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