Non ce n’est pas le 1er avril

Bonne nouvelle pour ce mois de mars, et ça repart. Un gendarme intercepte un agriculteur fautif.

L’homme ne veut pas se rendre.

Il s’enfuit.

Mais, la troupe fortement harnachée le rattrape.

Rapidement et sans mal, car l’homme tentait son escapade à l’aide de son tracteur à 30km/H.

Et pourtant nous ne sommes pas en avril.

Lu dans un magazine de défense du consommateur, les frais bancaires continuent d’exposer.

Non pas deux déjà en place, ils rapportent suffisamment en silence.

Mais des lignes de débours se sont rajoutées à celles qui vous pénalisent déjà.

Mais le pire, du moins au jour d’aujourd’hui, c’est que les nouvelles ponctions se font sur le dos de ceux qui ont des soucis financiers sur le compte.

Autant dire que ces braves petites banques qui vivent fort bien de leurs manières de faire actuelles, continuent à faire progresser leur grandes entreprises sur les plus faibles financièrement.

Mais, il est vrai que notre société actuelle a pris l’habitude de commercer sur le plus grand nombre.

Un premier président, ancien certainement, est reconnu coupable avec ses amis du délit de corruption de particuliers sur magistrat et trafic d’influence.

Le juge écope de trois ans de prison avec sursis, l’avocat 5 d’abstinence d’exercer et l’ex-président 3 ans dont deux avec sursis donc 1 an ferme.

Cet emprisonnement ne sera pas effective juste une surveillance active.

Sympa la justice pour les grands, car s’il y avait eu des petits…

 Évidemment, les adorateurs du déchu crient à l’injustice.

Ils la contestent là où ailleurs ils estimaient pour d’autres que il fallait fermer le ban.

Mais, il est certain qu’appel sera fait pour garder en haleine ce feuilleton à suivre sur Netflix… Mais en attendant, l’homme ne craint plus le confinement.

Est-ce un tournant vers plus de justice, une prise pouvoir sur un autre.

Rendez-vous à la Cour d’Appel.

En attendant, c’est déjà une petite révolution…

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