Va-t-on , avec les élections des premiers magistrats des bourgs, villages, ville et capitales, ressasser le retour de l’Euro que l’on veut rejeter ? A l’instar de ces quelques-uns de ces bourgs, villages, villages et quartiers de capitales utilisant une monnaie au cours court d’un circuit qui se veut plus direct et obligeant les possesseurs a acheter terroir de chez nous et faire fi du voisin.
A moins que la roue ne fasse son rôle de destin de tourner, tourne, et tourne encore, et que cette fois-ci, (re)surgisse le grave épineux problème des migrant immigrés à tête d’étranger pas comme nous, même si depuis bien longtemps l’on sait qu’ils ne viennent pas manger notre pain, puisqu’ils le font pour notre bien, lorsqu’il est bon.
Juste avoir le courage de leur dire qu’ici, aussi, il existe une religion de tradition historiquement catholique, bien que ce ne fût pas toujours le cas.
Certains la pratiquent, modérément ou avec trop de passion parfois, d’autres ne la pratiquent pas allant même jusqu’à ne pas la croire.
Mais, tout le monde vit dans le respect de l’autre, avec sans doute de temps en temps quelques accrocs, alors ami vient, entre, installe-toi et vit bien ensemble.
La seule idée en tête de ce gouvernement est de gérer la France comme une entreprise ou mieux que n’importa laquelle de ces sociétés obligé, contre leur gré, de respecter certaines règles.
Mais pourquoi se gêner lorsque l’on possède la possibilité de faire ses propres lois et règlements ? Déjà qu’il avait donné le pas avec le coup des Cdd qu’il réactivait sans arrêt.
Maintenant, il va faire ce qu’à rêvé tout patron : obliger ses salariés à se former durant leurs congés.
Pour le moment, cela ne concerne que l’éducation nationale donnant ainsi le titre de premier de classe à avoir la menace de cette décision.
Pour ne pas créer de discussion inutile, le décret est sorti en été et un dimanche pensant que tout le monde sera assoupi.
Les syndicats n’en voulaient pas, il n’en veulent toujours pas même si l’illuminé l’a fait.
