Mets de l’huile…
De plus en plus, à part le patron lorsqu’il veut faire genre, les salariés sont libérés das boîtes de sardines où ils étaient entassés pour être à l’air libre dans de grands espaces de verdure voire fleuris.
Et tout le monde est obligé de vivre dans cet espèce d’aquarium où les décideurs ont décidé que cette espèce esclave peut vivre sans grand dommage pourvu qu’il produise à hauteur de ce qu’ils économisent.
Mais comme ces messieurs doivent réfléchir à longueur de journée, ils conserveront leur si cher bureau que j’ai une moquette plus épaisse que la tienne dont la vue d’angle est bien meilleure avec ses belles fenêtres dont on m’a pourvu étant donné mon rang.
Mais voilà, mélanger requins et sardines ne fait pas toujours bon ménage d’autant plus que le plancton a été oublié d’une climatisation affolant les uns décourageant les autres qui s e plaignent d’une fenêtre ouverte faisant croire qu’ils ont leur mot à dire dans un choix affriolant de placement à la tête de j’aime ou j’aime pas.
J »aime bien cette politique bancaire de se faire de l’argent frais sur le dos ceux dont on sait bien que le 5, voir 10 pour les plus chanceux d’entre eux, de chaque début de mois ressemblent fort aux 30 ou 31 mensuel pour les autres après avoir fait monter leur petite cagnotte de l’animal aux noix qu’elles sont bonnes.
Mais, désormais, et tout à fait légalement semble-t-il pour ces belles banques, elles perçoivent leurs agios au prix abusifs sur l’ensemble des opérations réalisées dans la même journée dont un au moins a franchi la ligne rouge de démarcation qu’il est vilain ce mauvais trésorier.
Plus vous êtes pauvre, plus vous enrichissez votre banquier ; c’est un bon résumé sans détours de la vraie valeur du monde capitaliste.